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41. Sur la pente de la même montagne
Ibantalico-gaïna, à 224 mètres au Sud de la borne antérieure. |
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42.
A Archabaleco-gaïna, à 195 mètres au Sud, après avoir traversé un petit
ruisseau.
On peut voir une croix gravée sur la
pierre plate située au pied de la borne, ainsi qu'une pierre sculptée
portant l'inscription |
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43. A 291 mètres, dans un lieu appelé
Otsalizar, sur la ligne des versants que la frontière reprend ici pour la
suivre jusqu'à la borne 53. |
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44. A Lizarrietaco-bourroua, sur un
sentier, à 349 mètres, au S. S. E. de la borne précédente. |
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Trois marques au sol entre les bornes 44 et
44A; une troisème proche de la 44A qui avait disparu a été retrouvée par Eef
Berns |
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Entre les bornes 44 et
45 douze bornes portant les numéros 44A à 44H ont été insérées. La 44L a été
déterrée et se trouve à coté de la 44J. |
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45. A 408 mètres, dans un endroit que
les uns nomment Idoétaco-gaïna et d'autres Bélatéco-ezcarra. |
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46.
A 536 mètres, au lieu nommé Ousotéguia, ou les Palomières d'Echalar.
De l'autre coté du chemin se trouve une tour
palombière. |
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47. A 170 mètres, à l'endroit connu sous
le nom de Gastagnarrico-gaïna, ou Gastaïnlépoco-ezcarra.
A coté de la borne 47, ancienne borne
marquée d'une croix sur la face supérieure. |
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48. A 361 mètres, au lieu nommé par les
Français Domicouco-bizcarra et par les Espagnols Lacaïn-gaïna ou Barraco-ezcarra.
A partir de ce point, la frontière se dirige vers l'Est, avec la ligne des
crêtes. |
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49. A 493 mètres, dans un lieu que les uns
appellent Domicouco-éguia et d'autres Navalasco-gaïna. |
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Anciennes bornes marquées d'une croix
sur la face supérieure situées, l'une à 20 m au nord et l'autre au pied de
la borne 50. |
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50.
A 308 mètres, à Navalasco-lépoa, ou petit-col de Navalas. |
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51. A 511 mètres, à Igouzquiétaco-gaïna. |
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52. Dans l'endroit appelé par les Français
Otsabia et par les Espagnols Bagacelayéta, à 396 mètres. |
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53. A 244 mètres, et à 12 avant
d'arriver au ruisseau Otsabiaco-erreca ou Otsobicoerreca. En ce point, la
frontière abandonne définitivement la ligne de partage des bassins de la
Bidassoa et de la Nivelle, et va par le ruisseau d'Otsabi jusqu'à sa
jonction avecl'Agnatarbéco-erréca. |
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54.
Au confluent des deux ruisseaux, sur la rive droite et à 573 mètres de la
borne antérieure, comptés le long du ruisseau. La frontière remonte ensuite
le ruisseau d'Agnatarbé par le bras le plus oriental et jusqu'à son origine. |
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55.
A cette origine, et dans le lieu nommé Bizcaïloucéco-mougarria, à 677
mètres. |
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La nouvelle borne 56 entre l'ancienne 56 et la borne triangulaire aux
inscriptions aujourd'hui illisibles. |
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56.
A 88 mètres, à l'endroit appelé Bizcaïloucéco-éguia, et plus communément
Irourmouga, à côté d'une ancienne borne triangulaire qui porte un E sur la
face qui regarde Echalar, un B sur celle du côté de Baztan et un S sur celle
tournée vers Sare : la date 1767 est gravée sous le B, et celle de 1645 sous
l'E. |
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Entre les bornes 56 et 57 il y a au moins 4 anciennes bornes portant un "S"
pour Sare sur une face et un "B" pour Baztan sur l'autre face. |
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57.
A 386 mètres, sur la pente de la montagne d'Agnatarbé. |
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| Mais est-ce la bonne croix? |
Sommet d'Atxuria ou
Penaplata (759 m) |
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La ligne frontière
s'élève ensuite jusqu'au grand rocher d'Archouria sur le sommet duquel il y
a une croix gravée, sans numéro. On compte 345 mètres de la borne 57 au pied
du rocher dont la partie Sud est inaccessible, ce qui a empêché de mesurer
la distance jusqu'au sommet. |
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58.
A 421 mètres de la croix, dans un lieu nommé Archouria ou Léouza, après
avoir descendu le versant Nord, de l'autre côté du rocher Archouria. |
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59.
A 1 010 mètres, sur la rive gauche du ruisseau Sorogorrico-erréca. La ligne
divisoire suit au delà le cours du ruisseau Sorogorri jusqu'à sa jonction
avec l'Arotzarenaco-borda-péco-erréca, et continue avec ce dernier jusqu'à
la borne suivante. |
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60.
A l'endroit appelé Pagadico-soroa, comptant 1 560 mètres de la borne
précédente, sur le ruisseau Sorogorri, et 1264 sur celui d'Arotz-arenaco-borda.
En ce point, la frontière abandonne le ruisseau et se dirige vers l'E.N.E. |